Désappointement...
La Bouquine :: Lecture :: Coups de coeur
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Désappointement...
21h, Théâtre de l'Atelier.
La soirée boucle une journée difficile. Planning, clients, téléphone; rien que de l'ordinaire mais le soleil en plus et l'envie d'être ailleurs..
Nous nous retrouvons place Dullin. L'endroit est magique. Pour ceux qui ne connaissent pas, imaginez les rues en pentes entre Montmartre et Pigalle. Là se niche une petite place sur laquelle trône ce théâtre à l'ancienne entre arbres et cafés parisiens. Le jour baisse et la façade blanche s'allume... Il vaut mieux être bien accompagné tant l'endroit est romantique. Salle haute, dorée et rouge, les rangées étriquées des sièges ont du mal à recevoir les grandes jambes. Quelque part une sonnerie appelle les retardataires. La lumière baisse, le silence finit par avoir raison des dernières bribes de conversation, des derniers raclements de gorge. Respirations suspendues... Le rideau se lève lentement, distillant la surprise... Le décor tout en lignes perpendiculaires plante un appartement... légèrement trop décor. Le comédiens entrent, prennent l'espace mais butent sur les mots. Leurs jeux resteront parallèles toute la soirée, hésitants, excessifs.
Dommage
L'aide mémoire de J.C Carrière avec Sandrine Bonnaire et Pascal Grégory.. mais le mieux est encore que chacun se fasse son opinion....
La soirée boucle une journée difficile. Planning, clients, téléphone; rien que de l'ordinaire mais le soleil en plus et l'envie d'être ailleurs..
Nous nous retrouvons place Dullin. L'endroit est magique. Pour ceux qui ne connaissent pas, imaginez les rues en pentes entre Montmartre et Pigalle. Là se niche une petite place sur laquelle trône ce théâtre à l'ancienne entre arbres et cafés parisiens. Le jour baisse et la façade blanche s'allume... Il vaut mieux être bien accompagné tant l'endroit est romantique. Salle haute, dorée et rouge, les rangées étriquées des sièges ont du mal à recevoir les grandes jambes. Quelque part une sonnerie appelle les retardataires. La lumière baisse, le silence finit par avoir raison des dernières bribes de conversation, des derniers raclements de gorge. Respirations suspendues... Le rideau se lève lentement, distillant la surprise... Le décor tout en lignes perpendiculaires plante un appartement... légèrement trop décor. Le comédiens entrent, prennent l'espace mais butent sur les mots. Leurs jeux resteront parallèles toute la soirée, hésitants, excessifs.
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L'aide mémoire de J.C Carrière avec Sandrine Bonnaire et Pascal Grégory.. mais le mieux est encore que chacun se fasse son opinion....
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